Les
OVNIS dans la bible
" La terre était
désert et désolation,
L'obscurité régnait sur la face de l'abîme,
Et l'esprit de Dieu planait sur les eaux " (Genèse
1,2)
En hébreu :
Ve ha-arets aïéta tohou va-bohou
Ve toshékhé al-pnéï téhom
Ve rouah Elohim merakhéfet al-pnéï ha-mahim
C'est une très
belle image, très poétique, cet esprit de Dieu
qui plane sur les eaux
.Mais le texte en hébreu
se contente de dire :
"Ve rouah Elohim merakhéfet al-pnéï ha-mahim ".
Rouah, c'est le
vent ! Et le verbe merakhéfet signifie : trembler, s'agiter.
De sorte qu'au lieu de : Et l'esprit de Dieu planait sur les
eaux , nous obtenons " Et le vent des Elohim s'agitait
sur la surface de l'eau ". On le voit, nous sommes loin
du calme d'un esprit immatériel planant à la
surface d'une eau tranquille. Il semble bien que nous soyons
plutôt en présence d'un objet, (engin, OVNI, Hélicoptère)
qui ce déplace dans les airs, et dont le souffle, le
vent qu'il provoque, fait s'agiter la surface de l'eau.
Dans la Genèse, XXVIII, se trouve
une autre description de la présence d'un engin
" Une échelle était dressée
par terre, sa tête touchant aux cieux, et voici que des
Anges d'Elohim montaient et descendaient sur elle". (Genèse,
XXVIII-12)
Dans l'Exode Elohim parle à Moïse
:
" L'Ange de Iahvé lui apparut dans une flamme
de feu, du milieu d'un buisson (...) le buisson était
embrasé par le feu, mais il n'était pas dévoré !".
(Exode, III-2)
L'Exode :
" Or Iahvé marchait au-devant d'eux, le jour
en colonne de nuée pour les guider sur la route, et la
nuit en colonne de feu pour les éclairer en sorte qu'ils
marchent jour et nuit". (Exode, XIII-21)
" (…) l'aspect de la gloire de Iahvé était comme un
feu dévorant au sommet de la montagne (...)" (Exode, XXIV-17) Vous
avez là la description de la "gloire", l'engin volant en réalité,
des créateurs et comme vous avez pu le lire ou le voir pour certain, au
moment du départ l'ovni prend une coloration semblable à celle
d'un feu.
"Quand Iahvé fit monter Elie aux cieux dans
un tourbillon (...)". (Il Rois, II-1)
" (...) voici qu'un char de feu et des chevaux de feu s'interposèrent
entre eux deux (entre Elie et Elisée) : Elie monta aux cieux dans le tourbillon".
(Il Rois, II-11)
C'est le décollage d'un engin volant et le feu
des tuyères fait que le narrateur parle de chevaux de
feu. Si aujourd'hui vous prenez des primitifs d'Amérique
du Sud ou d'Afrique noire et que vous les faites assister au
décollage d'une fusée, ils parlent de char de feu
et de chevaux de feu en revenant dans leurs tribus, incapables
de comprendre, même en gros, les phénomènes
scientifiques d'une façon rationnelle et voyant en cela
du surnaturel, du mystique et du Divin.
Mais c'est dans Ezéchiel que se trouve la plus
intéressante description des engins volants :
" (...) une grande nuée avec un feu fulgurant
et une clarté autour, tandis qu'au milieu il y avait comme
le scintillement du vermeil (...). Et au milieu, la forme de
quatre êtres dont l'aspect était le suivant : ils
avaient une forme humaine. Chacun avait quatre faces et chacun
avait quatre ailes. Quant à leurs jambes : la jambe était
droite et la plante de leurs pieds était comme la plante
de la patte du veau et brillait comme le scintillement de l'airain
poli. Sous leurs ailes et sur leurs quatre côtés
il y avait des mains d'homme. Leurs ailes à tous les quatre
se rejoignaient l'une l'autre. Leurs faces ne se tournaient pas
quand ils avançaient : chacun allait selon l'orientation
de ses faces. Quant à la forme de leurs faces, c'était
une face d'homme, puis une face de lion, sur la droite des quatre,
puis une face de taureau, sur la gauche des quatre met une face
d'aigle pour les quatre. Leurs ailes étaient déployées
vers le haut ; chacun en avait deux, rejoignant chacune sa voisine,
et deux couvrant son corps. Chacun allait selon l'orientation
de sa face. Ils allaient là où l'esprit devait
aller. Ils ne se tournaient pas en marchant. Entre les êtres
la vision était comme des braises incandescentes, c'était
comme la vision des torches ; cela se déplaçait
entre les êtres ; le feu avait de l'éclat et du
feu sortait la foudre. Les êtres allaient et revenaient
en courant, vision pareille à la foudre". (Ezéchiel,
1,4-14)
"Je regardai alors les êtres et voici qu'il
y avait une roue à terre, à côté des
quatre êtres".(Ezéchiel, I-15) "
L'aspect des roues était comme le scintillement
de la chrysolithe ; les quatre avaient la même forme ;
leur aspect et leur fonctionnement étaient comme si une
roue se trouvait au milieu de l'autre. Dans leur marche, elles
allaient suivant leurs quatre côtés, elles ne pivotaient
pas dans leur marche. Quant à leurs jantes - elles avaient
de la hauteur et un aspect effrayant - (...) elles étaient
couvertes d'yeux qui étaient autour de toutes les quatre.
Quand les êtres avançaient, les roues avançaient à côté d'eux
et quand les êtres s'élevaient de terre les roues
s'élevaient. Là où l'esprit devait aller,
ils allaient et les roues s'élevaient conjointement avec
eux, car l'esprit des êtres était dans les roues.
Quand ils avançaient, elles avançaient, quand ils
s'arrêtaient, elles s'arrêtaient, quand ils s'élevaient
au-dessus de la terre, les roues s'élevaient conjointement
avec eux, car l'esprit des êtres était dans les
roues".(Ezéchiel, 1, 16-21)
" Au-dessus de la tête des êtres était
une sorte de plate- forme ; c'était comme l'éclat
imposant du cristal ; elle s'étendait sur leurs têtes
dans la partie supérieure. Sous la plate-forme leurs ailes étaient
droites, l'une parallèlement à l'autre ; ils en
avaient chacun deux qui leur couvraient le corps. J'entendis
le bruit de leurs ailes, pareil, quand ils avançaient,
au bruit des grandes eaux, pareil à la voix de Shaddaï ;
bruit d'une multitude, comme le bruit d'un camp. Lorsqu'ils s'arrêtaient,
il laissaient retomber leurs ailes. Il y avait du bruit au-dessus
de la plate-forme qui était sur leurs têtes. Pardessus
la plate-forme qui était sur leurs têtes, c'était,
pareille à l'aspect d'une pierre de saphir, la forme d'un
trône et sur la forme de trône une forme pareille à l'aspect
d'un homme (qui était) dessus, dans la partie supérieure".
(Ezéchiel, I, 22-26)
Voilà une description, on ne peut plus précise
des créateurs descendus de leurs engins volants. La grande
nuée, c'est la trace que laissent les avions à très
haute altitude actuellement, apparaît ensuite l'engin et
sa lampe clignotante, le "feu fulgurant" et le " scintillement
du vermeil". Quatre créateurs évoluent ensuite
avec des combinaisons antigravitationnelles et de petits réacteurs
directionnels. Des "ailes" sur leurs scaphandres métalliques
: " leurs jambes... brillaient comme le scintillement de
l'airain poli". Vous avez pu remarquer que les combinaisons
de vos cosmonautes sont très brillantes. Quand à la "soucoupe
volante", la "roue", leur aspect et leur fonctionnement
ne sont pas trop mal décrits sachant que c'est un primitif
qui parle. Comme si une roue se trouvait au milieu de l'autre
(...) elles ne pivotaient pas dans leur marche". Au centre
des "soucoupes volantes", très proches en aspect
de celle où nous nous trouvons, est située la partie
habitable : la "jante" : "quant à leurs
jantes, elles étaient couvertes d'yeux qui étaient
autour de toutes les quatre". De même que nos tenues
vestimentaires ont évolué et que nous ne portons
plus maintenant de ces encombrants scaphandres, nos n'avions
pas encore trouvé le moyen de voir à travers les
parois métalliques en modifiant leurs structures atomiques à volonté.
Les "soucoupes volantes" restent près des créateurs,
pour les aider en cas de besoin car ils sont en train de s'approvisionner
en matières diverses et effectuer quelques manœuvres
d'entretien du gros vaisseau intergalactique situé au-dessus
d'eux. D'autres créateurs, à l'intérieur
des engins, les dirigent : " (...) l'esprit des êtres était
dans les roues." (Ezéchiel, I-21) Evidemment. Le
scaphandre est également décrit avec ses quatre
hublots comparables à ceux de vos premiers scaphandres
marins : " Chacun d'eux avait quatre faces... Leurs faces
ne tournaient pas quand ils avançaient." (Ezéchiel,
I-9)
Les petites "soucoupes" sont un peu des "Lems" de
service, de petits véhicules à faibles rayons d'action
servant pour de courtes missions d'exploration. Plus haut attend
le gros véhicule interplanétaire : "Au-dessus
de la tête des êtres était une sorte de plate-forme
; c'était comme l'éclat imposant du cristal (...)
Pardessus la plate-forme qui était sur leurs têtes,
c'était, pareil à l'aspect d'une pierre de saphir,
la forme d'un trône et sur la forme de trône une
forme pareille à l'aspect d'un homme dessus, dans la partie
supérieure." (Ezéchiel, I, 22 et 26) Ce dernier,
sur le grand vaisseau, surveillait et coordonnait le travail
des créateurs.
Ezéchiel, apeuré, s'est aplati face contre
terre devant toutes ces choses tellement mystérieuses
qu'elles ne peuvent provenir que de "Dieu" mais un
des créateurs lui dit :
" Fils d'homme, tiens-toi sur tes jambes et je te
parlerai (...) écoute ce que je vais te dire (...) et
mange ce que je vais te donner". (Ezéchiel, II, 1
et 8)
Puis Ezéchiel est transporté par le vaisseau des créateurs
jusqu'au lieu où il doit répandre la nouvelle :
" L'esprit m'avait soulevé ; il m'emporta
(...) j'entendis derrière moi le bruit d'une grande rumeur'.
Ezéchiel, III, 14 et 12)
Plus loin, le "prophète" est encore emmené dans
un engin volant : " (...) l'esprit me souleva entre ciel
et terre et m'amena à Jérusalem (...)" (Ezéchiel,
VIII-3)
Ezéchiel remarque ensuite que sous leurs "ailes",
les "chérubins" ont des mains comme les hommes
:
" Alors apparut, chez les chérubins, une forme
de main humaine, sous leurs ailes". (Ezéchiel, X-8)
" Les chérubins, lorsqu'ils partirent, dressèrent
leurs ailes et s'élevèrent de terre, sous mes yeux,
et les roues conjointement avec eux". (Ezéchiel,
X-19)
"L'esprit me souleva et m'emmena (...)" (Ezéchiel,
XI-1)
" La gloire de Iahvé s'éleva du milieu
de la ville et s'arrêta sur la montagne qui est à l'orient
de la ville. L'esprit me souleva et m'emmena en Chaldée
(...)" (Ezéchiel, XI, 23-24)
Autant de voyages pour Ezéchiel dans un des engins
volants des créateurs. " (,,,)
Iahvé me fit sortir et me déposa au milieu
de la vallée". (Ezéchiel, XXXVII-1)
Ezéchiel est encore emmené par un engin
volant qui le conduit près d'un homme revêtu d'un
scaphandre, dans le chapitre XL :
" Il m'emmena (...) et me déposa sur une très
haute montagne sur laquelle il y avait comme les constructions
d'une ville, au midi (...) (il y avait) un homme dont l'aspect était
comme l'aspect de l'airain". (Ezéchiel, XL, 2-3)
Au chapitre XLIII, le grand vaisseau
appelé respectueusement "gloire
de Dieu" approche : " Et voici que la gloire du Dieu
d'Israël vint de la direction de l'Orient avec un bruit
comme le bruit des grandes eaux et la terre resplendit de sa
gloire". (Ezéchiel, xLfii-2)
Dans le dixième chapitre de Daniel vous avez encore
une description intéressante d'un créateur :
" Je levai les yeux et regardai : voici, un homme
(...) Son corps était comme de chrysolithe, son visage
comme l'aspect de l'éclair, ses yeux comme des lampes
de feu, ses bras et ses jambes comme l'apparence de l'airain
poli, et le bruit de Ses paroles comme le bruit d'une multitude".
(Daniel, X, 5-6)
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